Juste
pour le plaisir de parcourir les pages d’un
cahier que l’on ressort seulement les
jours de fête. Pour que la mémoire
reste vive afin que ceux qui, hier, ont existé
ne se sentent pas abandonnés sur quelques
feuilles jaunies, relégués au
panthéon de l’indifférence…
Il n’y a rien de pire que l’oubli
! |